Comité sectoriel de main-d'œuvre des industries des portes et fenêtres, du meuble et des armoires de cuisine

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Sommaire

Automne 2018
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Candidats cachés

Industrie à pleins gaz

Main-d'oeuvre immigrante

Perfectionnement des travailleurs


Membres du Conseil d’administration

COPRÉSIDENT PATRONAL
Pierre Richard
Association des fabricants de meubles du Québec (AFMQ)

COPRÉSIDENT SYNDICAL
Sébastien Pageau
Unifor (FTQ) TRÉSORIER Yves Guérette Unifor (FTQ)

SECRÉTAIRE
Pierre Richard
Association des fabricants de meubles du Québec (AFMQ)

REPRÉSENTANTS SYNDICAUX
Daniel Beauchemin
CSD

Pierre Leduc
Fédération de l’industrie manufacturière (FIM–CSN)

REPRÉSENTANTS PATRONAUX Virginie Cloutier
Association des fabricants et détaillants de l’industrie de la cuisine du Québec (AFDICQ)

Gilbert Lemay
Association de vitrerie et fenestration du Québec (AVFQ)

REPRÉSENTANTE GOUVERNEMENTALE
Geneviève Leclerc
Conseillère en intervention sectorielle Direction du développement des compétences et de l’intervention sectorielle Secteur Emploi-Québec Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale


Avec la contribution financière de :
Logo Emploi Québec

Employés du Comité sectoriel

Christian Galarneau
Directeur général et coordonnateur

Mario Dubois
Responsable des communications

Jocelyne Bellemare
Coordonnatrice à la formation



logo CSMO

161 rue Tyler, C.P. 1473
Montréal (Québec) J0B 1C0
Téléphone : 514.890.1980
Télécopieur : 514.890.1450
Courriel : info@solutionsrh.net
Site Internet : www.solutionsrh.net

Automne 2018
Poste-Publication No de convention 41521516


Bulletin Info Main-d'œuvre

Solutions aux problèmes de recrutement

Le diagnostic sectoriel 2018 propose des moyens de faire face aux besoins de main-d’œuvre et aux difficultés d’embauche exprimés par 133 manufacturiers lors de l’enquête salariale de l’industrie réalisée cette année. Le rapport pointe une vingtaine de métiers en demande.

Recruter des travailleurs qualifiés donne du fil à retordre aux fabricants dans plusieurs régions où l'industrie est concentrée. Ce sera encore plus difficile à l'avenir. La province doit combler 1,4 million de postes d'ici 2028. Environ 30 % de la main-d'œuvre actuelle partira à la retraite d'ici à 10 ans. La vive concurrence va s'accentuer entre les secteurs de la transformation et ceux des services, qui tentent d'accaparer les ressources disponibles à la baisse.

rapport enquete Le remplacement annuel du personnel correspond à environ 15 % de l'effectif de l'industrie, qui s'établit à 42 000 travailleurs. En combinant le taux de roulement involontaire, les départs volontaires et la création d'emplois, c'est près de 15 000 candidats que les employeurs doivent trouver chaque année !

C'est un effort, un poids organisationnel considérable à soutenir, étant donné la diminution graduelle de la population active dans plusieurs régions du Québec. Les travailleurs détenant un diplôme d'études secondaires etmoins - capables d'exercer les métiers d'entrée de production exigeant peu de qualification - sont deux fois moins nombreux qu'il y a 25 ans. Entre 1990 et 2015, la proportion est passée de 63 % à 32 %.

Complémentaires à celles qui sont déjà en usage dans les entreprises, il existe des pistes de solution qui peuvent les aider à mettre la main sur des candidats correspondant aux compétences des postes peu spécialisés, semi-spécialisés, techniques et universitaires.

Des milliers de candidats cachés en quête d'un boulot passent sous le radar. Ils ont la plupart du temps le profil recherché dans l'industrie. Bon nombre d'entre eux ne sont pas visibles sur les sites d'emploi, alors qu'ils sont répertoriés dans les banques de CV des organismes d'employabilité présents partout au Québec.

La filière immigrante (statut permanent, réfugié, travailleur étranger temporaire et étudiant) constitue l'un de ces filons à explorer. Pour attirer, accueillir et intégrer ces gens venus de l'extérieur de nos frontières, il faut s'y préparer, faire preuve de stratégie, de souplesse, utiliser les bons outils, investir temps et argent. Certains manufacturiers expérimentent déjà ces formules innovantes (page 3). La Stratégie nationale de la main-d'oeuvre déposée en mai dernier par le gouvernement du Québec propose des mesures d'aide spécifiques (page 2).

D'autres bassins de main-d'oeuvre moins traditionnels sont négligés parmi les options de recrutement : employés venant d'autres secteurs d'activité, travailleurs vivant dans d'autres régions, contractuels, employés en mode télétravail, femmes, personnes handicapées, personnes judiciarisées, autochtones, etc.

Miser davantage sur la clientèle estudiantine des réseaux collégial et universitaire (environ 400 000 personnes) constitue une perspective attrayante. Les personnes semi-retraitées et retraitées sont tout autant à la portée des entreprises : le taux d'activité des 55 ans et plus au Québec est le plus faible au Canada.

Le recours plus important au personnel à temps partiel (jeunes, personnes âgées, femmes et travailleurs issus du secteur des services) servirait bien également la cause des manufacturiers afin de pallier la rareté des ressources à temps plein.

Au nombre des autres outils porteurs permettant d'attirer et de garder la main-d'oeuvre figurent la compétitivité des salaires, la bonification des conditions de travail, l'adaptation de l'environnement de travail au style de vie des jeunes, la flexibilité des horaires, l'adoption de bonnes pratiques d'attraction, d'accueil, d'intégration et de rétention des nouveaux employés.

Retombées en 2017-2018

En 2017-2018, le Comité sectoriel a généré d'excellents résultats dans sa prestation de services auprès des manufacturiers et des partenaires du marché du travail. Rapport annuel
  • Ciblage et relance téléphonique sur les besoins de 350 entreprises
  • Visite de 90 manufacturiers
  • Formation de 154 compagnons
  • Formation de 45 superviseurs
  • Signature de 612 ententes du Programme d'apprentissage en milieu de travail (PAMT) visant six normes professionnelles de l'industrie (valeur potentielle en crédits d'impôt de l'ordre de 5,7 millions de dollars)
  • Distribution de matériel sur les carrières et services du Comité sectoriel auprès de 5000 partenaires, entreprises et organismes d'intégration à l'emploi et d'orientation de carrière
  • Promotion imprimée et numérique des outils, activités et services du CSMO à l'intention de 1800 entreprises
  • Autofinancement du budget d'exploitation de l'ordre de 23 %

Compteurs au vert

Selon Statistique Canada, l'industrie poursuit sa croissance observable. Tous les compteurs sont au vert.

La croissance économique au pays contribue à la relance graduelle des industries des portes et fenêtres, du meuble et des armoires de cuisine depuis quatre ans. Cette performance est supérieure à la moyenne québécoise.


En 2017, plusieurs indices sectoriels étaient à la hausse comparativement à 2016 : emploi (3,4 %), masse salariale (4,9 %) et PIB (6,5 %).



Bilan de l'enquête salariale

Cent trente-huit (138) manufacturiers ont participé à la toute première enquête salariale de l'histoire du Comité sectoriel de main-d'oeuvre des industries des portes et fenêtres, du meuble et des armoires de cuisine.

rapport enqueteEn juillet dernier, les participants ont reçu un rapport individuel permettant de se comparer avec la concurrence sur le plan de la rémunération et des conditions de travail touchant une cinquantaine de métiers repères.

Le rapport global (payant) sera rendu public à l'été 2019.

Les résultats sont tirés des données recueillies et traitées par Synthèse Plus RL & CL lors d'un sondage mené entre décembre 2017 et la mi-avril 2018.

Aide au recrutement

La Stratégie nationale de la main-d’oeuvre du gouvernement du Québec déposée en mai 2018 propose une série d'incitatifs financiers favorisant le recrutement et la rétention de la main-d'oeuvre immigrante.

Il y a d’abord la mesure (no 6) de soutien à l’intégration en emploi grâce à la collaboration du Conseil du patronat du Québec et de la Fédération des chambres de commerce du Québec. Trois (nos 8, 9 et 10) contiennent des dispositions fiscales qui aident les entreprises à débusquer les talents à l’étranger. Une autre met en valeur le Programme d’aide à l’intégration des immigrants et personnes visibles en emploi (PRIIME) et le Programme pour l’intégration en emploi des personnes formées à l’étranger recommandées par un ordre professionnel (IPOP). Une dernière prévoit favoriser la rétention des étudiants et travailleurs étrangers temporaires. Reste à voir les critères d’admissibilité et la mise en oeuvre concrète.

En juillet dernier, le ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion a annoncé des assouplissements administratifs visant à réduire considérablement le délai de traitement des demandes d’immigration impliquant un statut permanent.

Travailleurs immigrants temporaires

Le Groupe Atis, chef de file dans la fabrication et la distribution de portes et fenêtres au Canada, se tourne du côté des travailleurs étrangers temporaires provenant du Mexique afin d’occuper des postes saisonniers.

L’une de ses installations, Laflamme Portes et Fenêtres, en accueille une dizaine depuis la fin du mois de septembre dernier. Pour y parvenir, l’entreprise de Saint-Apollinaire a mis huit mois avec l’aide d’une firme de recrutement de Québec. C’est que la demande de main-d’oeuvre immigrante est forte sur l’ensemble du territoire québécois.

L’organisation n’arrive pas à pourvoir environ 40 postes sur les quelque 200 employés de production évoluant dans cette usine située à une trentaine de kilomètres de la Capitale-Nationale. Elle explore la filière de l’immigration parce qu’il n’y a « pas vraiment de monde disponible » qui donne suite à ses offres d’emploi dans la région de Chaudière-Appalaches, explique Yannick Boudreault, directeur corporatif ressources humaines d’Atis.

« Si elle perdure, la pénurie de personnel, ajoute-t-il, c’est un problème qui peut freiner la croissance, compromettre le développement d’une entreprise. »

Les postes vacants de Laflamme Portes et Fenêtres concernent principalement les métiers d’usine peu ou semi-spécialisés. Si l’expérience d’intégration de ces gens venus d’ailleurs est concluante, l’an prochain, la direction songe à accroître son offensive de séduction en Amérique latine. On souhaite attirer encore plus de travailleurs étrangers temporaires durant huit mois par année. Une autre filiale du Groupe Atis, Altek, à Saint-Joseph-de-Beauce, a amorcé des démarches dans le but d’en attirer aussi un certain nombre dans ses rangs.

Recruter des candidats à l’extérieur du pays et savoir les intégrer correctement pour s’assurer qu’ils reviennent chaque année demandent plusieurs mois de préparation.

Les 10 travailleurs mexicains de Laflamme Portes et Fenêtres vivent ensemble dans un hôtel à moins d’un kilomètre de l’usine. Ils disposent d’un vélo pour s’y rendre durant la période du contrat de travail, d’un épicier tout près, de services de base à proximité. Les nouveaux arrivants bénéficient d’un accompagnement touchant divers aspects : dépôt de la paie dans un compte bancaire, soutien dans les démarches administratives, organisation d’activités de loisir, etc.

Les instructions de travail sont traduites en espagnol. Deux interprètes supervisent les nouveaux arrivants dans leur plan de formation et d’intégration. Les effectifs en place sont sensibilisés à l’importance de la réussite de l’initiative. Le département des ressources humaines coordonne l’ensemble des opérations, facilite un meilleur arrimage.

C’est un investissement en temps et en argent nécessaire. « Quand les travailleurs du Mexique reviendront l’an prochain, dit Yannick Boudreault, ils seront déjà formés, plus à l’aise dans leurs fonctions et leur environnement. »

Réfugiés à la rescousse

Incapable de combler des postes vacants aux départements d’assemblage et d’emballage dans la région de l’Estrie, Logiflex fait appel aux réfugiés du Proche-Orient détenteurs de la citoyenneté canadienne.

Depuis six mois, des Syriens, Afghans et Irakiens travaillent à l’usine du manufacturier de mobilier de bureau de Sherbrooke comptant 260 employés dont 20 personnes immigrantes.

« Nous sommes satisfaits de l’expérience. Ce sont des gens dédiés qui ont à coeur la qualité du travail. Ils ont souvent occupé des fonctions manuelles dans leur pays », souligne David Lafond, coordonnateur à la formation, santé et sécurité au travail. « Nous souhaitons continuer à développer la filière en raison de la pénurie de main-d’oeuvre locale. » Des emplois sont encore disponibles.

L’embauche de réfugiés nécessite du temps. Les démarches durent environ six mois : recherche et identification des candidats, étude des profils de compétences, installation des immigrants dans la communauté, apprentissage du français, du vocabulaire des outils et des procédures de travail, etc.

Le Service d’aide aux Néo-Canadiens de Sherbrooke donne un solide coup de main au fabricant sur ce plan. L’organisme d’accueil et d’intégration des personnes immigrantes fournit en plus des interprètes pour traduire des documents. La Commission scolaire de la région adapte le programme de francisation des nouveaux arrivants en fonction de la réalité de production grâce à une subvention d’Emploi-Québec.

Pour maximiser ses chances de succès, Logiflex accorde beaucoup d’importance à l’intégration des nouveaux travailleurs issus d’une autre culture. Certains d’entre eux ont vécu des situations difficiles dans leur pays. Ils ont besoin d’avoir des repères en arrivant ici, d’être rassurés, d’être un peu plus encadrés au départ.

« Nous avons mis en place un système de parrainage avec l’aide d’un travailleur étranger, bien intégré dans l’entreprise, qui parle leur langue », explique David Lafond. Ils connectent tout de suite. C’est plus facile ainsi pour eux de s’acclimater, de se former, d’apprendre le métier. Le nouvel employé peut prendre cinq à six mois avant d’être à l’aise sur son poste. Cette formule permet d’y arriver plus efficacement.

Embauche de travailleurs à l'étranger

Comme beaucoup d'entreprises en région dans l'industrie, le Groupe Bermex s'arrache les cheveux pour trouver des travailleurs de production. L'entreprise de la Mauricie va à l'extérieur du Canada pour combler ses besoins de main-d'oeuvre.

Depuis environ cinq ans, les CV arrivent au compte-gouttes. Le manufacturier de meubles lorgne davantage l'étranger. Une douzaine de travailleurs provenant du Mexique, de la Syrie et de l'Afrique occupent des postes dans l'usine. Ils sont motivés, loyaux, désireux de se refaire une vie dans la communauté.

L'aventure débute en décembre 2017. L'entreprise accepte de participer à une mission en Tunisie à l'invitation du ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion (MIDI). L’organisation cherche à dénicher des candidats pouvant effectuer le travail au département de rembourrage.

C’est difficile de les trouver dans la région mauricienne. Il y a pénurie dans le coin. La population active vieillit, les bassins de main-d’oeuvre rétrécissent et le nombre de jeunes diminue.

Pour livrer les produits à temps, poursuivre sa croissance, Bermex n’a pas le choix d’aller chercher les travailleurs ailleurs dans le monde. En juin dernier, une quarantaine de postes étaient toujours vacants dans les usines de Louiseville, Maskinongé et Trois-Rivières.

Formation des compagnons

En 2018-2019, le Comité sectoriel propose encore plusieurs activités de formation des compagnons dans une dizaine de régions au Québec.

Les frais du cours de 16 heures sur deux jours s’élèvent à 200 dollars par participant (location de la salle, repas, honoraires du formateur). Après la formation, vous avez 30 jours pour réclamer du Comité sectoriel le remboursement de 100 % des salaires des travailleurs jusqu’à concurrence d’un taux horaire de 20 dollars. Cela inclut les avantages sociaux.

Réservez une place pour vos formateurs internes ! On prévoit 15 groupes et 150 inscriptions durant cette période. Infos : Jocelyne Bellemare (jbellemare@solutionsrh.net), 514-661-3460.

Perfectionnement des superviseurs

Le renouvellement récent de la subvention permet au Comité sectoriel de lancer cinq groupes et d’accueillir 50 participants à la formation des superviseurs d’ici à avril 2019. On doublera ce nombre en 2020.

L’activité de perfectionnement est disponible dans plusieurs régions au Québec, selon la demande exprimée par les manufacturiers. Premiers arrivés, premiers servis ! Inscrivez-vous en contactant Jocelyne Bellemare (jbellemare@solutionsrh.net), 514-661-3460.

L’apprentissage dure 28 heures échelonnées sur quatre mois. L’intégration de la matière se fait graduellement par bloc. Chaque séance de formation représente quatre heures sur une base hebdomadaire en fonction d’un horaire prédéterminé. Il y a aussi deux séances de coaching par participant (en privé) dans son milieu de travail.

L’entreprise paie seulement la moitié des frais d’inscription, soit 1250 dollars par participant. Le Comité sectoriel de main-d’oeuvre assume le reste. On rembourse également une partie substantielle du salaire de chacun d’eux (incluant les avantages sociaux) jusqu’à concurrence de 10 dollars de l’heure par travailleur (par exemple, si le taux horaire maximal admissible s’élève à 20 dollars).

Apprentissage en milieu de travail

Emploi-Québec vous propose le Programme d'apprentissage en milieu de travail (PAMT) afin d'enrichir les compétences de vos travailleurs occupant les postes suivants : assembleur de portes et fenêtres, couturier de meuble, ébéniste, opérateur de machines industrielles, peintre-finisseur, rembourreur.

Le PAMT permet non seulement d’améliorer la qualité de la main-d’oeuvre, mais aussi de faire reconnaître le savoir-faire de vos employés, sources de motivation chez eux. Il y a un dépliant explicatif sur la question en page d’accueil du site du Comité sectoriel, Solutionsrh.net. Le document promotionnel sur les normes professionnelles donne une idée de comment ça marche. Dans les deux cas, si ça vous intéresse, veuillez contacter Jocelyne Bellemare (jbellemare@solutionsrh.net), 514-661-3460. Vous pouvez aussi joindre Services Québec de votre région.

AEP – Assembleur de portes et fenêtres

Faites en sorte que vos travailleurs deviennent des experts de métier certifiés pour qu’ils soient encore plus sur la coche !

Les premières cohortes de l’Attestation d’études professionnelles d’assembleur de portes et fenêtres commencent dès janvier 2019. Les régions retenues sont Lanaudière, Montérégie et Chaudière-Appalaches en 2019-2020. Un maximum de 15 personnes par groupe est autorisé.

L’objectif de l’activité vise à acquérir les connaissances, les habiletés et les attitudes nécessaires pour effectuer l’exercice du métier d’assembleuse et d’assembleur des bons de commande, le choix et la préparation des matériaux, l’usinage des pièces, l’assemblage des divers profilés, la pose des produits verriers et de la quincaillerie, la finition, la vérification et l’emballage du produit.

La formation dure 625 heures. Il y a 280 heures en entreprise, 3450 en atelier et en classe. L’inscription coûte 400 dollars par participant. Une subvention applicable (une valeur de 15 665 dollars par participant) couvre les salaires jusqu’à concurrence d’un taux horaire maximal de 15 dollars, incluant les avantages sociaux. Infos : Christian Galarneau (cgalarneau@solutionsrh.net), 514-890-1980.

Le 21 novembre

Avez-vous des problèmes d’attraction, de recrutement et de rétention de personnel ?

grand rendez-vous RHEn collaboration avec une douzaine de comités sectoriels de main-d’oeuvre, le CSMO participe à l’organisation du Grand rendez-vous RH des manufacturiers à Saint-Hyacinthe le 21 novembre prochain. Inscription : Jocelyne Bellemare (jbellemare@solutionsrh.net), 514-661-3460.